Photos : Le Transmongol

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Transsibérien

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En Chine, prendre le bus ou le train est toute une aventure

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Tout commence par l'achat du billet. Généralement, les personnes au guichet ne parlent pas anglais. Il arrive parfois, comme à Beijing ou Xi'An, qu'il y ait un guichet pour les étrangers, ou nous sommes presque sûrs de trouver quelqu'un qui parle l'anglais minimal pour acheter un billet. Dans ce cas-là, reste encore à trouver ce fameux guichet ! En demandant à l'accueil ? Si la personne ne parle pas anglais, il faut qu'elle comprenne à force de gestes qu'on cherche le guichet des étrangers. La personne demande autour d'elle, est impressionnée par ces blancs qui viennent la voir, et, pour "ne pas perdre la face", nous donne toujours une direction, même si ce n'est pas la bonne. Une fois trouvé le guichet, il faut faire la file... La file ? En Chine ? On connait pas ça ici ! Alors il faut aller dans la bousculade et tenir coûte que coûte sa place collés à la personne devant, sans quoi un petit futé viendra se glisser imperceptiblement d...
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Une fin de semaine en Sibérie: Irkoutsk et le Lac Baikal

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Irkoutsk Notre arrivée à Irkoutsk signifie notre libération après 5 jours de train dans une cabine à l'odeur repoussante... Nous avons repéré une auberge de voyageurs au centre-ville d'Irkoutsk. Le Lonely indique de ne pas y aller sans avoir réservé, mais étant donné la période, nous tentons le coup : réussi, l'auberge Baikaler Guest House n'est pas du tout pleine. L'entrée se fait par derrière par une vieille porte en fer, un peu comme chez Yulia à Moscou. Le Baikaler est très bien tenu, et sa douche est géniale, surtout après le train... Nous y croisons nos premiers voyageurs : 3 chinoises étudiant le russe à Oulan Oude, 1 couple d'anglais, 1 couple de français, 1 finlandais et 1 hollandais. À part les chinoises, nous prenons tous le Transmongol de Russie vers la Chine. Ensuite, les chemins se ressemblent pas mal : la plupart vont en Chine, Viet-Nam, Thailande, Cambodge, puis Australie, Nouvelle Zélande, etc. Première chose à faire de la journée : notr...
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HoiAn, mode et patrimoine

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HoiAn, sur la côte de la mer de Chine, centre du VietNam. Cette petite ville est magnifique, le vieux HoiAn est protégé et les maisons de style colonial ou chinois, font maximum un étage, ont une cours intérieure, etc. Les (quelques) voitures n'y ont pas accès, et les motocyclistes n'ont pas le droit de le traverser moteur allumé. Enfin, il n'y a pas de lampadaires : le soir, la ville est éclairée par les lanternes accrochées aux maisons et aux arbres. Plutôt sympa l'ambiance ! Photos de HoiAn: Hoi An À part cela, HoiAn c'est aussi la ville des tailleurs. Tous les habitants ont un emploi en lien avec ce métier : conseiller de mode en vêtement ou en chaussure, couturier, etc. À HoiAn, qu'on soit ou non une fashion victim, on finit par craquer : pour des prix dérisoires du point de vue occidental, et en qqjours, on peut refaire sa garde-robe avec les tissus et les couleurs de son choix, à sa taille. Pour Jérôme, qui ne trouve jamais sa taille au Canada...
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